Soirée de clôture du Festval Choukar 2010 à la Maison des étudiants (Poitiers 86)

ADRS / EMF - Chorégraphe Dany Beltran / Laurence Barrault

Crétaion Musique Patrick Tréguer et Mathieu Grattedoux - Poitiers

"Que faisons-nous de notre petitesse et de notre grandeur ?

Ce spectacle invite au voyage d'une traversée imaginaire de nos états grands et petits"

Cette manifestation, unique dans la région, nous plonge au cœur du débat sur l'intégration et l'égalité des chances.

L'intégration des personnes en difficultés ou en situation de handicap passe par une meilleure considération de celles-ci par la société, et la pratique artistique y contribue indéniablement.

Conduire des élèves de différents milieux scolaires et des adultes de divers domaines professionnels (artistes, enseignants, éducateurs) à porter un regard nouveau sur les personnes en difficulté ou en situation de handicap...

Leur donner la chance de se rencontrer autour de l'Art qui ne stigmatise pas la différence et permet de véritables échanges humains... 
...Telle est, depuis dix ans, l'ambition du festival Choukar.

Au programme 4 jours de spectacles et d'ateliers de pratiques artistiques. 
Choukar permettra cette année encore à environ 500 jeunes en situation de handicap ou « valides » de monter sur scène ou de découvrir le temps d'un atelier avec la complicité d'artistes professionnels diverses pratiques (danse, Hip-hop, cirque, musique).

Photos Fred P du 2 juin 2010

Photos Fred P de la Soirée de clôture

Festival Choukar, 10 ans pour changer le regard sur le handicap (CultureBox)

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Choukar le 31 mai 2010

Tarama

Cela peut se dire...

La clique sur mer

L'atelier costume de l'Université en déambulation

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Choukar le 2 juin 2010

"Monstrueusement Boisé/ Enervé"

N. Brissonnet

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"Solstice" Cie Arcanje

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 Spectacle du lycée Camille Guérin pendant le festival Choukar

 S. Combelas / C. Servant

"Il suffit de s'y rendre une fois, de respirer la sérénité de l'endroit, de dilater sa relation au temps, d'ouvrir ses oreilles, yeux, mains, narines, papilles, peau, pour saisir les évènements les plus furtifs et lire l'invisible. Et pour que l'éphémère dure, danser ce qu'il en reste."

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"En attendant..."

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Choukar le 3 juin 2010

"Les bras m'en tombent "   

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      "Vue d'en bas, vue d'en haut"